
A laquelle aucun symbole
N’enlève sa majesté
Une Belle Terre sans foi ni croyance
Son dos frémit au rythme des chansons d’une révolution passée
Ses yeux perlent au nom du souvenir
Parce que quelquefois, c’est beau de se souvenir
Et son gros cœur qui bat et se laisse emporter
Donnant un pas autoritaire aux milles enfants,
Souls de la douceur de son sein.
C’est une vague de chaleur qui traverse ma poitrine
Comme les fleurs s’ouvrent à l’aurore,
Tous les pores de ma peau s’abreuvent d’une rosée d’étoiles
Mes yeux humides, me dévoilent des merveilles nouvelles à chaque instant, et chaque instant est précieux
Pourquoi cette larme?
Je sais maintenant que c’est leur manière à eux de dire merci.
Mais c’est en fermant les yeux que je perçois le grand Miracle,
A chaque moment, des naissances, des joies, des émotions,
Des voyages, des morts et des souffrances.
Instant après instant et il y en a pas deux pareils.
2010